Après avoir salué la qualité de la présentation des corapporteurs, M. Ivan Renar a estimé qu'elle « réveillait » néanmoins différentes préoccupations :
- le taux d'échec des étudiants en premier cycle ;
- la question de la pérennité du soutien de l'Etat, notamment pour ce qui concerne l'immobilier universitaire ;
- l'avenir des pôles universitaires non retenus au titre de l'opération Campus, avec le risque de voir se développer des inégalités entre les universités et entre les territoires ;
- la question récurrente des droits d'inscription.