a souligné la nécessité d'un système de réassurance pour que les assureurs puissent faire face à une catastrophe sanitaire ou climatique. Par ailleurs, sans aller vers une obligation d'assurance, obtenir une assiette plus large permettrait de mutualiser davantage les risques. Il serait donc souhaitable que les grandes exploitations céréalières soient incitées à reporter une partie des marges mises en réserve en DPA sur le système d'assurance.
En ce qui concerne les indications géographiques protégées (IGP) et les labels, il a regretté tout d'abord qu'ils ne soient pas très lisibles pour les consommateurs, et a souhaité en redéfinir les critères, afin qu'un produit sous IGP soit effectivement issu de la région concernée. L'indication de l'origine des produits permettrait en effet de mieux les valoriser.