a assuré que l'information concernant une entreprise, d'ordinaire, était légalement disponible à hauteur de 90 % environ, la seule difficulté consistant à savoir comment trouver cette information. Néanmoins, il a fait état de comportements déviants, observés çà et là au plan international, ayant recours, notamment, à des méthodes d'écoutes et d'interception de communications. Il a affirmé que seul l'Etat, pour des motifs spécifiques, tenant en particulier à la défense et la sûreté de son territoire, pouvait légitimement employer de telles méthodes.