a indiqué que ces petites et moyennes entreprises, en principe, n'avaient besoin que de certaines informations, très spécifiques. Il a exposé les termes d'un débat, délicat à trancher, tendant à décider si l'Etat français, à l'instar des Etats-Unis et du Royaume-Uni, devait communiquer aux entreprises les informations qu'il était susceptible de recueillir dans le cadre de ses activités régaliennes, lorsque ces informations pouvaient contribuer à faciliter les efforts des entreprises à l'international.