Souscrivant pleinement à cette dernière série d'interrogations, qu'il a complétée par la question du niveau du dialogue (dans l'entreprise, le groupe, la branche ?), M. François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, a indiqué que son organisation cherchait à avancer dans deux directions :
- la reconnaissance que l'espace du dialogue social doit être occupé par les partenaires sociaux, la loi n'intervenant qu'à titre de régulation ;
- le soutien à la représentativité syndicale et à la validité des accords collectifs par le renforcement des pouvoirs des organisations syndicales.