s'est interrogé sur les possibilités de réduire les coûts de maintien en condition opérationnelle. Evoquant le programme Rafale, il a souhaité savoir si les premiers bénéfices de l'arrivée dans les armées d'un appareil polyvalent commun à l'armée de l'air et à la marine commençaient à se faire sentir. Il s'est inquiété des glissements observés dans le déroulement des programmes d'hélicoptères, qu'il s'agisse du NH90 ou de la rénovation des Cougar, en se demandant s'il n'en résulterait pas une dégradation supplémentaire de nos capacités opérationnelles, déjà insuffisantes. Il a également évoqué la révision du programme FREMM, qui ne comporte plus qu'11 frégates au lieu des 17 initialement envisagées. Il a demandé quelles seraient les conséquences d'une telle réduction pour notre flotte de surface et les missions qui pourront lui être confiées.