a indiqué que la direction générale de la mondialisation aurait pour vocation d'être une direction d'état-major qui n'interviendrait pas dans l'opérationnel, mais dans l'élaboration de la stratégie et l'exercice de la tutelle sur les opérateurs. Ce principe souffre trois exceptions et « demie » :
- l'enseignement supérieur et la recherche restent de la compétence de la nouvelle direction générale, qui est en discussion avec l'opérateur de mobilité pour une délégation ;
- le secteur de la gouvernance serait scindé ; la sécurité serait gérée par la direction de la coopération militaire, le reste étant géré par une structure spécifique qui serait opératrice ;
- la coopération décentralisée reste du domaine de la nouvelle direction générale.
A mi-chemin, la coopération avec les ONG fait l'objet d'une délégation de crédits spécifiques à l'AFD selon des modalités ad hoc.