a souligné l'importance du sommet du 13 juillet pour l'avenir du projet d'Union pour la Méditerranée. Il a rappelé le rôle des Parlements nationaux dans le vote des crédits alloués au budget communautaire mis en oeuvre par les institutions communautaires. Il a estimé, par conséquent, qu'il ne saurait y avoir de séparation entre les niveaux d'intervention du Parlement national, qui contrôlerait uniquement son propre gouvernement, et le Parlement européen, qui contrôlerait les institutions communautaires. Les délégations pour l'Union européenne s'emploient, au demeurant, à contrôler, au sein du Parlement national, l'action des institutions communautaires.