s'est interrogé sur le fonctionnement des instruments de politique étrangère prévus par le Traité de Lisbonne et sur la possibilité de voir émerger une véritable politique de sécurité et de défense, dans la mesure où de nombreux Etats considèrent que cette fonction est assumée quasi exclusivement par l'OTAN. Il a souhaité savoir si la présidence française pourrait compter sur le soutien du Parlement européen dans son projet de renforcement de la politique européenne de sécurité et de défense.