Je voudrais dire, aussi posément que possible, que les sénateurs écologistes n’envisagent pas la question de cette façon.
Nous avons été très sensibles à la qualité de ce débat et saluons la prise de conscience qu’une partie de la jeunesse va mal.
Nous ne sommes ni laxistes ni tolérants, mais nous ne sommes pas favorables à la pénalisation de l’usage de stupéfiants ; nous prônons pour notre part une politique de santé publique ambitieuse.
Nous ne voterons donc pas ce texte, qui a cependant le mérite de poser de bonnes questions.