Sous réserve d'expertise d'ici à la séance publique, je propose de retirer ces amendements.
Les amendements n°s 130, 131, 62 et 132 sont retirés.
Il n'existe pas, pour les abonnements de téléphonie mobile, de tacite reconduction. Dès lors, l'amendement n° 72 qui vise à éviter les « réengagements passifs » est inutile.
L'amendement n° 72 est rejeté.
L'amendement n° 64, radical, interdit d'utiliser les termes « illimité » et « internet » à propos d'offres quantitativement ou qualitativement limitées. Nous n'avons pas encore eu le temps d'étudier les deux avis publiés hier soit par le Conseil national de la concurrence (CNC) ; pour l'heure, il me semble bon d'adopter une position maximaliste, quitte à revenir sur ce sujet en séance. J'invite donc Bruno Retailleau à retirer son amendement n° 60 au profit du n° 64.