Or ce fonds n’a bénéficié que de 10 % environ du produit des privatisations.
Cette négligence qui a privé ce fonds de ressources suffisantes, au point qu’il ne représente plus que 13, 8 % du budget de la Caisse d’amortissement de la dette sociale, nous oblige aujourd'hui à emprunter sur les marchés internationaux pour servir des retraites correctes.