Ce qui est arrivé une fois – à l’époque de M. Valéry Giscard d’Estaing, que je connais bien puisqu’il est de ma région – pouvant arriver une deuxième fois, on se dit qu’il vaut mieux prévenir que guérir. J’ai donc pensé que ce qui allait sans dire irait encore mieux en le disant. S’il est vrai que nous sommes de passage, les uns et les autres, dans notre vie personnelle comme dans notre vie politique, les paroles s’envolent, mais les écrits restent !