Après la première génération du feu, celle des poilus de 1914-1918, il y eut la deuxième génération, celle des combattants de 1939-1945.
À ce sujet, j’observe que l’idée n’est venue à personne de supprimer encore une fois le 8 mai… Errare humanum est, perseverare diabolicum ! Ce jour est celui de l’hommage rendu aux résistants et aux combattants qui ont permis le rétablissement de la République, cette République que l’État français de Vichy avait supprimée : il n’est pas mince l’hommage qu’il faut leur rendre !
J’ai été étonné de vous entendre passer subitement de la deuxième à la quatrième génération du feu, en oubliant la troisième.