Concernant le dossier que j’ai évoqué, les travaux pour réduire les risques à la source et pour restreindre le périmètre concerné ont déjà été réalisés.
Néanmoins, certaines entreprises sont encore touchées par des mesures foncières, telles qu’une expropriation ou un droit de délaissement. Nous sommes en discussion avec elles et les services de l’État, car elles risquent la délocalisation et la pérennité de leur activité est menacée.
Il est dommage que nous n’ayons pas pu mesurer l’impact financier de la délocalisation de ces entreprises, qui représentent plus de cent cinquante emplois, par rapport à un éventuel déplacement de l’entreprise à risque, d’autant que celle-ci n’emploie que deux salariés.
Au vu de la situation économique que traverse notre pays et compte tenu du fait que le chômage est une priorité pour ce gouvernement, je déplore que l’analyse de la situation n’ait pas été plus fine.