Monsieur le ministre, en la matière, il est clair que nous devons parler d’une seule voix. Je viens d’apprendre que le commissaire européen Dacian Cioloş s’apprête à installer un groupe de réflexion sur l’avenir du secteur viticole européen. Ce geste va dans le bon sens, mais nous devons rester vigilants.
Il importe de réclamer, avec le secteur viticole, les professionnels et les élus concernés, une modification de la législation dans le cadre de la réforme de la PAC qui doit entrer en vigueur en 2014. C’est, me semble-t-il, la bonne solution. En attendant, nous restons bien entendu très mobilisés pour la défense de notre filière vitivinicole.