Nous avons subi, notamment de la part de tous ces établissements privés, une avalanche de lobbying. Aujourd’hui, il existe, au sein de ces établissements, des différences énormes en termes tant d’attributions que d’actes pratiqués.
Nous savons bien, par exemple, que les cliniques privées assurent actuellement 65 % à 70 % des actes de chirurgie répétitive, telles les opérations de l’appendicite. Ces actes ne remettent pas en cause le pronostic vital et peuvent être programmés.
Des critères de rentabilité sont donc appliqués dans des blocs opératoires tels que ceux de la Générale de santé. C’est pourquoi on peut douter. La comparaison n’est pas tout à fait juste.
Par conséquent, madame la ministre, j’entends une partie de vos arguments, mais je rejoins complètement l’amendement présenté par Mme Annie Jarraud-Vergnolle.