Je ne peux pas ne pas réagir à un certain nombre d’accusations de M. Cazeau.
Je voudrais vous rassurer : cette question du reste à charge est une préoccupation constante du Gouvernement, et en particulier de moi-même, qui chargée des aînés.
Tout ce que je peux vous dire, c’est que ce débat est ouvert, mais qu’il n’est pas encore clos. Je vous donne donc rendez-vous au printemps, où les propositions issues de la mission commune d’information seront évoquées. Vous serez les premiers invités à nourrir ce débat.