Monsieur le sénateur, ce qui est inacceptable, c’est la négation du génocide !
De tels agissements sont une insulte à la mémoire des personnes défuntes et disparues, une atteinte à la dignité de leurs descendants et un facteur de fragilisation de notre cohésion sociale. Il faut en être conscient.
La République doit se donner les moyens de réprimer ceux qui nieraient l’existence des génocides ou qui les banaliseraient. C’est ce qu’elle a essayé de faire.
Le texte censuré par le Conseil constitutionnel, voté par des membres de la majorité comme de l’opposition, monsieur Mézard, …