Le groupe Arcelor-Mittal, comme l’État français, croit au projet ULCOS : c’est précisément pour cette raison que, le 8 novembre dernier, je suis allé plaider cette cause auprès des trois commissaires européens concernés. Le captage et le stockage du CO2 constituent un enjeu majeur pour l’acier, dans le cadre de la lutte contre les gaz à effet de serre.
Le Président de la République et le Premier ministre l’ont réaffirmé : le Gouvernement mobilisera 150 millions d’euros au titre des investissements d’avenir, et les négociations sont en cours avec la Commission européenne.
Mesdames, messieurs les sénateurs, ces jours derniers, vous avez examiné une proposition de loi tendant à obliger Arcelor-Mittal à vendre le site de Florange, tandis que le Président de la République et le Gouvernement tout entier ont négocié avec les représentants de ce groupe, afin que ce dernier investisse et qu’il s’engage au bénéfice de Florange ! §