Madame la secrétaire d'État, dans la dernière partie de votre intervention, vous avez indiscutablement répondu à une des questions que j’avais posées, mais vous l’avez malheureusement fait dans un sens plutôt négatif.
Je veux bien croire que, comme il le dit à chacun de ses déplacements, le ministre de l’agriculture ne reste pas inactif. Les fraisiculteurs espèrent qu’il va rapidement trouver une solution permettant de résoudre ce problème d’infestation, de façon qu’ils puissent continuer à produire dans les meilleures conditions et sans atteinte à la santé des consommateurs. Mais, pour l’instant, ils sont dans l’attente ! Je leur ferai part de votre réponse et, bien qu’elle soit incomplète, j’espère qu’ils y trouveront quelque satisfaction.