Madame la secrétaire d’État, je ferai part aux orthophonistes de votre réponse.
Je pense que le désaccord – à moins qu’il ne s’agisse d’incompréhension – porte justement sur la façon dont la formation complémentaire est structurée.
Le dialogue doit se poursuivre : je conseillerai en tout cas aux orthophonistes d’y être ouverts s’ils veulent obtenir des résultats et maintenir la qualité d’une profession à laquelle nous sommes, bien sûr, tous attachés.