Le Haut-Karabagh est un conflit gelé. Déjà avant l'élection d'Ilham Aliev à la présidence de l'Azerbaïdjan, le président arménien Robert Kotcharian avait déclaré qu'il n'arriverait pas à résoudre le conflit avec lui et qu'il faudrait attendre la génération suivante. Il est d'ailleurs dommage que le président Aliev fils n'ait pas modifié la position et la politique de son pays sur cette question.
L'Azerbaïdjan est un pays riche de son pétrole et de sa position stratégique, c'est pourquoi il faut l'accompagner, l'aider à faire évoluer les situations.
Enfin, ce pays doit se positionner. La politique est la rencontre des hommes et des événements, et je crains malheureusement qu'il n'y ait pas encore l'homme de la situation.