Naturellement ! Nous avons décidé de ne pas dévier de la trajectoire de l'accord du 9 décembre : une participation volontaire des créanciers privés pour ramener la dette grecque entre 120 % et 125 % du PIB en 2020. Les négociations ne sont pas simples. En particulier sur la rémunération du coupon, nous, nous défendions un taux de 4 %. Toute la subtilité est de savoir quand se constate le défaut. L'objectif reste d'éviter un défaut de la Grèce, qui serait un Lehman Brothers à la puissance trente, tout en rappelant aux Grecs leurs responsabilités.