Je n'ai pas évoqué un établissement public, mais une agence de notation à capitaux publics, ce qui permettrait de limiter le rendement exigé par l'actionnaire. Dans certains pays émergents, certains analystes doivent évaluer une trentaine d'émetteurs, ce n'est pas possible ! Nous n'étions que deux pour évaluer le Crédit agricole, nous aurions dû être six ou sept ! Un actionnaire public accepterait une compression des marges que refusent les actionnaires privés !