Il peut s'agir du FMI, de la banque mondiale, d'entités qui peuvent s'engager à ne pas interférer dans la gestion de l'agence et à accepter des marges plus faibles, ce qui accroîtra la qualité de l'évaluation. L'exigence de marges très élevées se paye, sur le terrain, au niveau des analystes qui se retrouvent avec une cinquantaine de crédits à noter. Lorsqu'il s'agit d'une banque du Kazakhstan, cela pose peu de problèmes, mais lorsqu'un même analyste doit noter Rabobank, BNP et le Crédit agricole, ou ne serait-ce que 50 milliards de gestion active des portefeuilles cantonnés (GAPC) d'une seule banque française, ce n'est pas possible !