Pourquoi ne pas envisager une délégation de service public, dans la mesure où les agences remplissent des missions de service public ? Cette formule juridique, que nous connaissons bien en France, permettrait, à partir d'un cahier des charges très strict, d'imposer un certain nombre d'obligations ne figurant pas dans la réglementation actuelle, notamment en matière de staffing, c'est-à-dire de ressources humaines : nombre d'analystes, nombre de crédits maximum par analyste (de l'ordre d'une dizaine). Il faudrait obliger les actionnaires à réinvestir leurs gains dans la ressource humaine. J'avais proposé cette idée à Bruxelles...