Ces arguments doivent être entendus. Mais pour quiconque est attaché à une gestion digne du personnel, il est paradoxal que des responsables, qui se devraient d'être exemplaires, se dérobent à leurs obligations en arguant d'impossibilités juridiques. Tenir compte de la situation précaire des collaborateurs de groupes n'est pas faire preuve de corporatisme. Pouvons-nous continuer à instaurer des règles que nous ne nous appliquons pas ?