Je suis ouverte à toutes les pistes de réflexion. Nos premières auditions nous permettront aussi de mieux définir notre champ. Lorsque nous aurons entendu le ministre, les responsables de la Haute Autorité de santé (HAS) et de l'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), nous verrons s'il faut l'élargir à l'ensemble des dispositifs médicaux implantables, qu'ils aient une visée esthétique ou non. En l'absence de notre rapporteur, avec lequel nous devrons déterminer le champ de la mission, je ne puis trancher.