Le patrimoine immobilier hospitalier n'a cessé de croître depuis trente ans, alors que le nombre de lits a diminué. La bonne adéquation de la taille de ce patrimoine avec l'évolution des modes de prise en charge est un enjeu d'avenir essentiel.
Certains biens peuvent certes être emblématiques et faciles à vendre. Néanmoins, dans d'autres cas, lorsque le bien est mal situé, il s'agit plutôt d'un problème de coût de possession.
J'insiste, enfin, sur le dialogue qui peut parfois être complexe avec les collectivités territoriales.
S'agissant des délais, nous sommes, il est vrai, sur des périodes de plusieurs années et il convient de veiller à la cohérence des différents acteurs sur la durée.