Je souscris pleinement à ce programme de stabilité, indispensable, même s'il vient presque tard. Vous prévoyez une réduction des dépenses de l'État de 1 milliard par an. Est-ce suffisant pour parvenir à l'équilibre réel que vous visez pour 2016 ?
La dette s'est accrue de 500 milliards au cours du quinquennat. Quelle part en est à attribuer à la crise, et laquelle au glissement non contrôlé des dépenses de l'Etat ?