Le scientifique que je suis ne peut qu'approuver des collaborations internationales. Il faut toutefois être vigilant sur la question des brevets. Le CEA possède déjà plusieurs brevets ; d'autres sont à déposer et cela est un élément de notre compétitivité industrielle. Je suis donc favorable aux coopérations internationales mais sous réserve que les acquis de la recherche demeurent auprès de leurs auteurs.
En ce qui concerne les autres filières de quatrième génération, le CEA et le CNRS participent à MYRRHA. La France participe aussi au projet européen de RNR refroidi au gaz ALLEGRO.