Monsieur Delebarre, ce texte en reste au statu quo sur les communautés urbaines. Monsieur Courtois, ma principale crainte est que l'on laisse s'installer dans notre pays une atomisation de la fonction publique territoriale. L'idée n'est pas de diminuer l'autorité du maire, mais de savoir si, demain, les centres de gestion absorberont la globalité de la fonction publique territoriale. Le seuil de 500, dans cette logique, coule de source. Certains demandent déjà l'affiliation de toutes les collectivités sur le modèle de la petite couronne...