Il ne faut pas oublier que ces études doivent tenir compte des Mahorais, et de la réalité mahoraise. Je viens d'être saisi de cette préoccupation par les pêcheurs mahorais, au nombre de 3 000, qui craignent que les dispositifs actuellement à l'étude les menacent, alors que ces pêcheurs font subsister plusieurs familles. Pouvez-vous nous éclairer ?