Je comprends la frustration de certains de nos collègues qui ne découvrent le rapport qu'aujourd'hui. Cependant, notre groupe de travail est représentatif de la diversité de notre assemblée. Chacun a travaillé à égalité, des amendements ont pu être proposés et intégrés dans le rapport.
Il faut savoir ce que l'on veut : on ne peut, d'un côté, se plaindre du manque d'investissement des parlements dans les négociations internationales, et, de l'autre, réclamer une suspension du vote sur le rapport. Quant à se plaindre parce qu'on n'a pas la main, il faut être réaliste. On ne l'aurait pas davantage à Rio autour de la table de négociations !