Je remercie M. Mariani, qui a exercé des fonctions ingrates mais indispensables alors que Dexia était en déshérence. La crise des dettes souveraines l'a empêché de mener à bien son rétablissement, mais il ne faut pas moins lui rendre hommage, car il est intervenu très activement sur les marchés internationaux pour réduire l'exposition de la banque, et il s'est mis à l'écoute des collectivités, préoccupées de leur accès au crédit. Merci aussi à MM. Bourges et de Villeroché, dont la tâche n'a pas été facile au cours de cette audition publique. Nous aurons, à n'en pas douter, l'occasion de reparler de ce dossier.