Nous ne l'avons pas votée parce que nous ne voulions pas d’un impôt de bourse, monsieur Marini ; nous voulions une vraie taxe sur les transactions financières. À cet égard, je vous confirme que ce que nous avons voté en coopération renforcée est très différent de ce que vous avez voté à la fin de la précédente législature sous la forme d’un impôt de bourse.