Le parc privé potentiellement indigne compterait de 500 000 à 600 000 logements, avec une moitié de locataires et une moitié de propriétaires occupants. La précarité énergétique frappe plus précisément ces logements. Quelles réponses peut-on apporter ?
Par ailleurs, on a assisté au cours des dernières années à un désengagement de l'État en matière d'hébergement d'urgence, alors que le nombre de sans abris et de familles à la rue n'a cessé d'augmenter. Dans la pratique, des centaines - voire des milliers - de places d'hébergement en hôtels ont été fermées au profit de places en logements classiques, qui au final n'existaient pas. Votre prédécesseur estimait que le logement classique était préférable à l'hébergement d'urgence. Quelle est votre position sur ce point ?