Je vous rappelle que les travaux de notre groupe de travail ont reposé sur l'idée que le harcèlement sexuel est constitué d'une succession d'actes tandis que le chantage sexuel ne représente qu'un acte isolé. C'est pourquoi, à l'instar de notre rapporteur, il est logique de ne pas retenir les amendements qui remettraient en cause cette définition.