Les amendements de Jean-Pierre Cantegrit pour ce dossier

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Je regrette que M. Badinter ait quitté l'hémicycle, car c'est à lui que s'adressent mes premiers mots. J'étais présent dans cet hémicycle, en 1981, lorsque Robert Badinter, alors garde des sceaux, a défendu l'abolition de la peine de mort et j'avais été fort impressionné par son plaidoyer, même si j'étais déjà convaincu de la nécessité de vote...

Je suis très étonné de la position de nos collègues socialistes, qui connaissent pourtant bien le dossier.

je ne suis pas un spécialiste du sujet : je siège à la commission des affaires sociales et non à la commission des lois. Pour nous, comme pour l'opinion publique, ces dérives - récidive, délinquance sexuelle - sont inadmissibles. Vous préférez, semble-t-il, en rester à la situation actuelle et arguez d'un manque de moyens financiers.