Les amendements de Jean-Vincent Placé pour ce dossier

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Monsieur le président, monsieur le ministre délégué, cher Benoît Hamon, mes chers collègues, les écologistes ont toujours érigé en valeur un principe de responsabilité étendu, s’appliquant aux conséquences de nos actes, non seulement à l’égard de nos contemporains et de notre environnement, mais aussi vis-à-vis des générations futures. Dès lors...

La gestion de nos finances publiques est aujourd’hui totalement accaparée par une dette abyssale, qui s’élève à 1 800 milliards d’euros, soit près de 90 % du PIB. Le service de cette dernière nous coûte 50 milliards d’euros par an : c’est la première dépense de l’État, davantage que le budget de l’éducation nationale. Si ce stock de dette, tou...

Tout le monde en convient, à commencer par la Cour des comptes : la résorption de notre endettement devra passer, à la fois, par une augmentation des impôts et par une maîtrise des dépenses publiques. Mes chers collègues, l’impôt n’est pas une spoliation, contrairement à l’idée qu’a tenté de propager le gouvernement précédent. Ce dernier avait...

Vous le dites fort bien, monsieur le président de la commission des finances, même si c’est un sarcasme ! Cette RGPP, mise en œuvre par le gouvernement précédent, a eu des effets désastreux dans le domaine de la sécurité publique, que je connais bien. Du reste, j’ai déjà dénoncé ces conséquences il y a quelques instants. La démarche proposée ...

En effet, si la stabilisation des effectifs de la fonction publique n’est pas qu’un objectif de milieu ou de fin de quinquennat, mais bien, comme vous semblez l’affirmer, un objectif applicable dès l’exercice 2013, cela signifie que les réductions de postes qui viendront compenser les nouvelles créations devront être inscrites dès la loi de fin...

Nous attendons des excuses, non des leçons : 1 million de chômeurs en plus durant le précédent quinquennat !

Monsieur le président, monsieur le ministre délégué, cher Benoît Hamon, mes chers collègues, les écologistes ont toujours érigé en valeur un principe de responsabilité étendu, s'appliquant aux conséquences de nos actes, non seulement à l'égard de nos contemporains et de notre environnement, mais aussi vis-à-vis des générations futures. Dès lors...

La gestion de nos finances publiques est aujourd'hui totalement accaparée par une dette abyssale, qui s'élève à 1 800 milliards d'euros, soit près de 90 % du PIB. Le service de cette dernière nous coûte 50 milliards d'euros par an : c'est la première dépense de l'État, davantage que le budget de l'éducation nationale. Si ce stock de dette, tou...

Tout le monde en convient, à commencer par la Cour des comptes : la résorption de notre endettement devra passer, à la fois, par une augmentation des impôts et par une maîtrise des dépenses publiques. Mes chers collègues, l'impôt n'est pas une spoliation, contrairement à l'idée qu'a tenté de propager le gouvernement précédent. Ce dernier avait...

Vous le dites fort bien, monsieur le président de la commission des finances, même si c'est un sarcasme ! Cette RGPP, mise en œuvre par le gouvernement précédent, a eu des effets désastreux dans le domaine de la sécurité publique, que je connais bien. Du reste, j'ai déjà dénoncé ces conséquences il y a quelques instants. La démarche proposée ...

En effet, si la stabilisation des effectifs de la fonction publique n'est pas qu'un objectif de milieu ou de fin de quinquennat, mais bien, comme vous semblez l'affirmer, un objectif applicable dès l'exercice 2013, cela signifie que les réductions de postes qui viendront compenser les nouvelles créations devront être inscrites dès la loi de fin...