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Nous remercions Julien Barbière, chef de la section de la politique marine et de la coordination régionale à la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'Unesco, d'avoir répondu à notre invitation. Nous sommes en effet heureux de poursuivre avec lui les travaux de cette mission d'étude sur l'exploitation, la protection et l'exp...
Vous affichez des objectifs très ambitieux. Que fait l'Unesco pour diffuser ces ambitions et mobiliser la communauté scientifique autour de leur réalisation ? Envisagez-vous des formes d'action particulières ?
Nous vous remercions pour cet échange particulièrement intéressant et nous souhaitons bon vent au programme de l'Unesco. Ce point de l'ordre du jour a fait l'objet d'une captation vidéo qui est disponible en ligne sur le site du Sénat.
Nous avons le plaisir de recevoir M. Damien Goetz, enseignant-chercheur au centre de géosciences de l'École des Mines de Paris, et membre, en 2012, du comité de pilotage sur « Les ressources minérales profondes - Étude prospective à l'horizon 2030 ». C'est un sujet qui est au coeur de notre mission d'information. Votre travail sur les ressource...
Est-on opérationnel, technologiquement, pour récupérer ce lithium ? Le contexte géopolitique, de toute façon, nous oblige à réfléchir à ces questions. Ainsi, il est envisagé d'installer des unités de production de batteries dans les Hauts-de-France, mais encore faut-il pouvoir disposer des matières premières nécessaires.
Nous vous remercions de ces éclairages très intéressants. Ce point de l'ordre du jour a fait l'objet d'une captation vidéo qui est disponible en ligne sur le site du Sénat.
Nous accueillons à présent Mme Carine Tramier, présidente du Comité d'orientation de la recherche et de l'innovation de la filière des industriels de la mer, accompagnée de M. Wilfrid Merlin. Participent à cette réunion, physiquement ou en visioconférence, Didier Mandelli, sénateur de la Vendée, Angèle Préville, sénatrice du Lot, Muriel Jourda...
Nous nous réjouissons que la présidence d'un tel comité soit assurée par un représentant des acteurs économiques. France 2030 consacre 2 milliards d'euros à l'espace et aux fonds marins, dont 300 millions à ces derniers. Que pensez-vous de cette répartition au regard des contraintes que vous avez évoquées et des ambitions affichées ?
Vous avez évoqué les seuils retenus pour l'AMI. Est-ce qu'ils ne peuvent pas porter préjudice à certains projets ? Ce sont surtout de grosses entreprises qui peuvent mobiliser un minimum de 2 millions d'euros, a fortiori si l'on parle d'AMI et pas de commande publique. Il n'est pas évident de trouver des cofinancements, en l'absence de visibili...
Nous devons aller vite, à la fois pour des raisons militaires et pour respecter l'objectif d'améliorer la cartographie d'ici à 2030 - nous en parlions tout à l'heure avec le représentant de l'Unesco. Pour autant, les acteurs économiques que nous avons reçus nous ont indiqué qu'ils ne pouvaient pas se permettre de déployer de nouvelles technolo...
Nous poursuivons nos travaux en recevant des représentants de l'entreprise TechnipFMC.
Doit-il s'agir, selon vous, d'une entité pilotée par les pouvoirs publics ?
Les outils de formation sont-ils suffisants dans ce secteur ?
Il est utile de rappeler que nous possédons une vaste ZEE et que nous devons défendre nos intérêts. Quels sont les moyens humains et matériels de TecnipFMC ? Le cluster maritime français est-il un outil intéressant pour fédérer les acteurs français et créer des synergies ?
Je vous remercie. Ce point de l'ordre du jour a fait l'objet d'une captation vidéo qui est disponible en ligne sur le site du Sénat. La réunion est close à 15h40.
M. le rapporteur, Teva Rohfritsch, qui se trouve actuellement en Polynésie, participe à cette audition en visioconférence, de même que nos collègues Muriel Jourda et Micheline Jacques. Je remercie MM. Marc Boissé, président, et Laurent Beguery, responsable du département Services en mer d'Alseamar, de participer à notre mission, qui a démarré ...
Cette capacité d'autonomie énergétique lui permet-elle de traverser 2 000 kilomètres sans être alimenté ?
Le planeur que vous avez inventé descend à 1 000 mètres. Les Américains ont-ils mis au point une technologie différente ?
D'autres opérateurs sont-ils chargés de l'exploitation de vos gliders ?
Comment votre entreprise s'inscrit-elle dans la stratégie nationale définie ? Avez-vous participé à son élaboration et qu'en pensez-vous à ce stade ?