Les amendements de Mickaël Vallet pour ce dossier
21 interventions trouvées.
Mes chers collègues, dans le droit fil des propos de Pierre Ouzoulias, je tiens à vous dire que je suis à la fois enthousiaste et navré du débat de ce soir. Je suis enthousiaste, car – je le dis sans ironie aucune –, à mon sens, il est important que le politique puisse débattre de questions d’ordre linguistique. Si des propositions de loi trai...
Nous devons pouvoir en débattre. Cela étant, je suis navré que ce sujet soit abordé sous un angle si étroit : je le dis sans aucun esprit polémique. Tout d’abord – M. le rapporteur l’a relevé à très juste titre –, nous ne traitons pas de l’écriture inclusive, mais, en fait, du point médian. Monsieur Vial, vous ajoutez qu’aujourd’hui la fémin...
Mes chers collègues, dans le droit fil des propos de Pierre Ouzoulias, je tiens à vous dire que je suis à la fois enthousiaste et navré du débat de ce soir. Je suis enthousiaste, car – je le dis sans ironie aucune –, à mon sens, il est important que le politique puisse débattre de questions d’ordre linguistique. Si des propositions de loi trai...
Nous devons pouvoir en débattre. Cela étant, je suis navré que ce sujet soit abordé sous un angle si étroit : je le dis sans aucun esprit polémique. Tout d’abord – M. le rapporteur l’a relevé à très juste titre –, nous ne traitons pas de l’écriture inclusive, mais, en fait, du point médian. Monsieur Vial, vous ajoutez qu’aujourd’hui la fémin...
Mes chers collègues, je saisis cette occasion de poursuivre mon propos précédent. Je parlais d’un piège dans lequel nous sommes tous pris, à gauche comme à droite. La loi de 1994 relative à l’emploi de la langue française fut préparée par Catherine Tasca et présentée par Jacques Toubon au Parlement. Elle reçut alors l’appui d’éminents représe...
Madame la ministre, moi aussi, je suis curieux de savoir ce que vous pensez de ces questions. Si nous sommes face à un piège, c’est parce que les circulaires en vigueur ne sont pas appliquées. Il y a un mois et demi de cela, le préfet de mon département organise une conférence de presse avec les forces de l’ordre et les services déconcentrés ...
Mes chers collègues, je saisis cette occasion de poursuivre mon propos précédent. Je parlais d’un piège dans lequel nous sommes tous pris, à gauche comme à droite. La loi de 1994 relative à l’emploi de la langue française fut préparée par Catherine Tasca et présentée par Jacques Toubon au Parlement. Elle reçut alors l’appui d’éminents représe...
Madame la ministre, moi aussi, je suis curieux de savoir ce que vous pensez de ces questions. Si nous sommes face à un piège, c’est parce que les circulaires en vigueur ne sont pas appliquées. Il y a un mois et demi de cela, le préfet de mon département organise une conférence de presse avec les forces de l’ordre et les services déconcentrés ...
J’en termine avec la démonstration. Nous ne tomberons pas d’accord sur ce sujet, mais nous sommes tous pris au piège, pour des raisons historiques et partisanes, d’un côté, pour des raisons d’étroitesse d’esprit, de l’autre. Mes chers collègues, vous n’avez pas eu beaucoup à souffrir de mes interventions ce soir.
J’en termine avec la démonstration. Nous ne tomberons pas d’accord sur ce sujet, mais nous sommes tous pris au piège, pour des raisons historiques et partisanes, d’un côté, pour des raisons d’étroitesse d’esprit, de l’autre. Mes chers collègues, vous n’avez pas eu beaucoup à souffrir de mes interventions ce soir.
Le véritable problème, ou le plus criant, sur lequel nous pouvons légiférer de manière moins ambiguë, demeure celui de l’anglicisation croissante et du manque de compréhension par nos administrés de ce qui se passe dans notre pays. Sur ce point, je tends la main à l’ensemble de mes collègues. La sagesse sénatoriale, au-delà de la sagesse minis...
Quant aux collectivités territoriales, je ne vais sans doute pas me faire d’amis ainsi, mais que dire de « Sarthe Me Up », « OnlyLyon », « Let’s Grau » – remarquable jeu de mots ! –, « MadeInJura », « My Loire Valley », etc. ? J’en termine avec la carte nationale d’identité, pour laquelle le Gouvernement – Mme Schiappa était chargée de ce doss...
Le véritable problème, ou le plus criant, sur lequel nous pouvons légiférer de manière moins ambiguë, demeure celui de l’anglicisation croissante et du manque de compréhension par nos administrés de ce qui se passe dans notre pays. Sur ce point, je tends la main à l’ensemble de mes collègues. La sagesse sénatoriale, au-delà de la sagesse minis...
Quant aux collectivités territoriales, je ne vais sans doute pas me faire d’amis ainsi, mais que dire de « Sarthe Me Up », « OnlyLyon », « Let’s Grau » – remarquable jeu de mots ! –, « MadeInJura », « My Loire Valley », etc. ? J’en termine avec la carte nationale d’identité, pour laquelle le Gouvernement – Mme Schiappa était chargée de ce doss...
Mes chers collègues, dans le droit fil des propos de Pierre Ouzoulias, je tiens à vous dire que je suis à la fois enthousiaste et navré du débat de ce soir. Je suis enthousiaste, car – je le dis sans ironie aucune –, à mon sens, il est important que le politique puisse débattre de questions d'ordre linguistique. Si des propositions de loi trai...
Nous devons pouvoir en débattre. Cela étant, je suis navré que ce sujet soit abordé sous un angle si étroit : je le dis sans aucun esprit polémique. Tout d'abord – M. le rapporteur l'a relevé à très juste titre –, nous ne traitons pas de l'écriture inclusive, mais, en fait, du point médian. Monsieur Vial, vous ajoutez qu'aujourd'hui la fémin...
Mes chers collègues, je saisis cette occasion de poursuivre mon propos précédent. Je parlais d'un piège dans lequel nous sommes tous pris, à gauche comme à droite. La loi de 1994 relative à l'emploi de la langue française fut préparée par Catherine Tasca et présentée par Jacques Toubon au Parlement. Elle reçut alors l'appui d'éminents représe...
Madame la ministre, moi aussi, je suis curieux de savoir ce que vous pensez de ces questions. Si nous sommes face à un piège, c'est parce que les circulaires en vigueur ne sont pas appliquées. Il y a un mois et demi de cela, le préfet de mon département organise une conférence de presse avec les forces de l'ordre et les services déconcentrés ...
J'en termine avec la démonstration. Nous ne tomberons pas d'accord sur ce sujet, mais nous sommes tous pris au piège, pour des raisons historiques et partisanes, d'un côté, pour des raisons d'étroitesse d'esprit, de l'autre. Mes chers collègues, vous n'avez pas eu beaucoup à souffrir de mes interventions ce soir.
Le véritable problème, ou le plus criant, sur lequel nous pouvons légiférer de manière moins ambiguë, demeure celui de l'anglicisation croissante et du manque de compréhension par nos administrés de ce qui se passe dans notre pays. Sur ce point, je tends la main à l'ensemble de mes collègues. La sagesse sénatoriale, au-delà de la sagesse minis...