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Je souhaite saisir l’occasion de ce débat pour aborder la question du retour de l’industrie, via les gigafactories, et vous interroger sur l’avenir de la politique européenne de concurrence. En France, et plus particulièrement dans les Hauts-de-France, nous sommes très heureux de ce retour de l’industrie. Nous avons en effet conn...
Ma question s'adresse à M. le garde des sceaux, ministre de la justice, et concerne la politique carcérale et pénitentiaire de notre pays. Pour commencer, permettez-moi de saluer la mémoire des deux surveillants qui ont récemment perdu la vie et d'adresser une pensée à leurs familles et leurs collègues. Au fond, notre politique pénitentiaire ...
Ma question s’adresse à M. le garde des sceaux, ministre de la justice, et concerne la politique carcérale et pénitentiaire de notre pays. Pour commencer, permettez-moi de saluer la mémoire des deux surveillants qui ont récemment perdu la vie et d’adresser une pensée à leurs familles et leurs collègues. Au fond, notre politique pénitentiaire ...
Merci, monsieur le ministre. Nous avons l'obligation à la fois collective et individuelle de faire preuve de volontarisme, car les prisons sont les fleurs noires de notre société ; elles nous tendent un miroir et racontent une histoire. En la matière, nous n'avons donc pas le droit de céder à la facilité. À ce propos, j'aime à citer Jean-Paul ...
Merci, monsieur le ministre. Nous avons l’obligation à la fois collective et individuelle de faire preuve de volontarisme, car les prisons sont les fleurs noires de notre société ; elles nous tendent un miroir et racontent une histoire. En la matière, nous n’avons donc pas le droit de céder à la facilité. À ce propos, j’aime à citer Jean-Paul ...
Nous ne voterons pas ces amendements. Au fond, les actions de préférence sont des outils de souveraineté économique, de souveraineté nationale : nombre de places financières, dont celle de Paris, l’ont bien compris. À partir du moment où l’on restreint le périmètre des actions à droits de vote multiples, on affaiblit le principe de souveraine...
Nous ne voterons pas ces amendements. Au fond, les actions de préférence sont des outils de souveraineté économique, de souveraineté nationale : nombre de places financières, dont celle de Paris, l'ont bien compris. À partir du moment où l'on restreint le périmètre des actions à droits de vote multiples, on affaiblit le principe de souveraine...
Monsieur le président, madame la ministre déléguée, mes chers collègues, il n'appartient bien sûr pas à un groupe de juger du sérieux ni de l'utilité d'une initiative parlementaire, quelle qu'elle soit. Notre devoir et notre rôle consistent simplement à dire ce que l'on en pense et d'expliquer notre vote. Vous ne serez néanmoins pas surpris d'...
Pourquoi ne pas l'avoir fait ? En réalité, vous n'avez pas proposé le retour à la retraite à 60 ans, parce qu'entre temps il y a eu la réforme Touraine, …
… laquelle a d'ailleurs eu des conséquences non négligeables pour les salariés. Après tout, ce n'est pas parce que l'augmentation du nombre de trimestres est progressive que cette mesure est indolore pour les personnes concernées. Le paradoxe, votre drame en quelque sorte, c'est que vous faites preuve de responsabilité quand vous exercez le po...
Au fond, je le répète, deux logiques s'affrontent au sein de votre mouvance politique : celle de la responsabilité quand vous exercez le pouvoir et une certaine culture d'opposition quand vous ne l'exercez pas… Idem pour les exonérations de charges. Vous vous insurgez contre elles, mais vous avez voté le crédit d'impôt pour la compétiti...
… pour un total de 40 milliards d'euros. C'est considérable ! Ce n'était pas une mauvaise mesure, voyez-vous…
Je déteste surtout votre démagogie, madame Rossignol !
M. Olivier Henno. S'inscrire, comme vous le faites, dans deux logiques aussi dissemblables selon que vous êtes dans l'opposition ou dans la majorité ne sert pas l'idée que je me fais de la démocratie !
Sur le fond, ce texte est-il sérieux ? La dette de notre pays s'élève à 3 000 milliards d'euros. Notre déficit budgétaire est dramatique et atteindra 5, 1 % du PIB en 2024 : voilà ce sur quoi devraient porter vos critiques !
La France va dépenser 14, 4 % de sa richesse pour les retraites, contre 11, 9 % en moyenne dans les autres pays européens. Nos dépenses publiques équivalent à 57 % du PIB ; quant aux recettes, elles s'élèvent à plus de 52 % de celui-ci. Comment pourrions-nous encore augmenter le niveau des recettes et des dépenses publiques ? Il n'est pas resp...
C'est d'ailleurs le mal de la société française. Car la dette ne finance pas des dépenses d'avenir, elle finance des dépenses de soins ou de retraite, dont la charge sera reportée sur d'autres, c'est-à-dire nos enfants, que nous sacrifions.
Je ne partage en rien les principes sur lesquels repose cette proposition de loi. C'est le mal de toute la société française que de vouloir toujours reporter les décisions réalistes, difficiles sur nos enfants, …
… un mal qui touche même le COR, à en croire les indiscrétions. Pour parvenir à un scénario, il faut se mettre d'accord : d'une certaine façon, on préfère le consensus à la vérité ! Ce consensus, on le construit sur l'hypothèse d'un taux de productivité qui progresserait de 1 % par an : on n'arrive pas à se faire à l'idée qu'elle n'augmente qu...
… et critiquer le fait qu'il n'ait pas su tourner le dos au « quoi qu'il en coûte ». Voilà quel devrait-être le cœur du sujet aujourd'hui. Pour toutes ces raisons, nous voterons contre ce texte.