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Interventions sur "demandé" d'Alain Milon


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a demandé s'il fallait déduire de l'exemple de la campagne menée en 1976 aux Etats-Unis que la vaccination de masse n'était pas la réponse la plus adaptée à une pandémie grippale.

a demandé pourquoi, si les données indiquaient la faible gravité du virus, les analyses de la majorité des épidémiologues avaient été si alarmistes.

a demandé si, du fait de son expérience en tant qu'expert de l'OMS, le professeur Keil estimait que les conflits d'intérêts y étaient bien gérés. Y a-t-il au sein de l'OMS une influence des laboratoires qui aurait pesé sur la déclaration de la pandémie ?

a demandé quels seraient, très concrètement, les études à conduire et les moyens à mettre en oeuvre pour améliorer la connaissance de la grippe - saisonnière ou pandémique- et de ses impacts et pour apprécier l'efficacité de la vaccination antigrippale.

a demandé des précisions sur la déclaration d'intérêts écrite remise par M. Tom Jefferson à la commission d'enquête : quel a été l'objet des travaux sur le Tamiflu financés par le laboratoire Roche entre 1997 et 1999, qu'il a mentionnés au titre de ses activités ? Par ailleurs, lorsqu'ils ont été auditionnés par la commission d'enquête, les représentants du laboratoire Roche ont indiqué que, suite à l'ét...

a demandé à quel moment la perception du risque et donc, l'intention de se faire vacciner, avaient été les plus fortes ? Qu'est-ce qui les a fait basculer ?

Relevant qu'à l'Assemblée nationale, M. Michel Setbon avait dit que l'échec de la campagne de vaccination pouvait être prévu, M. Alain Milon, rapporteur, s'est demandé comment on pouvait expliquer l'adaptation tardive de la stratégie vaccinale à la réalité de la situation.

a demandé s'il arrivait que l'on ne perçoive qu'avec retard l'émergence d'un risque. Quel rôle peuvent jouer les virologues ?

a dit avoir constaté que les médecins, s'ils n'avaient pas pu vacciner leurs patients contre la grippe, les avaient beaucoup encouragés à se faire vacciner contre les complications pulmonaires de la grippe et il a demandé à M. Setbon s'il avait également observé cette hausse de la vaccination antipneumococcique.

a demandé si, dans le cadre d'une redéfinition de la pandémie, il faudrait faire référence à la notion de gravité de la pandémie.

a demandé pourquoi la validation par l'EMA du schéma vaccinal à une seule injection n'était intervenue qu'à la fin du mois de novembre 2009, et si certains Etats membres avaient anticipé cette validation.

a demandé s'il serait possible à la commission d'enquête de disposer des données comparatives rassemblées par la Commission sur les stratégies vaccinales nationales et leurs résultats en termes de couverture de la population, sur la proportion des vaccins commandés qui avait été utilisée et éventuellement sur les conditions de renégociation des contrats.

Rappelant que la ministre française de la santé avait regretté qu'il n'y ait pas eu de stratégie coordonnée des pays de l'Union européenne en ce qui concerne la négociation des achats de vaccins, M. Alain Milon, rapporteur, a demandé si la Commission partageait ce sentiment et s'il y avait eu néanmoins des échanges entre les Etats membres sur ces négociations.

a demandé s'il était logique, au regard du droit communautaire, que les Etats membres aient accepté d'assumer la responsabilité des dommages éventuels liés à l'utilisation de vaccins pandémiques ayant bénéficié d'une AMM.

a enfin demandé s'il serait concevable d'harmoniser, au niveau européen, des « bonnes pratiques » en matière d'organisation de l'expertise sanitaire, de prévention et de gestion des conflits d'intérêt.

a demandé des précisions sur le comité informel réuni autour de la ministre de la santé pour la gestion de la pandémie, dont M. Roger Salamon avait mentionné l'existence lors d'une émission télévisée.

a demandé sur quelles bases scientifiques repose le seuil barrière de 30 %. Le Royaume-Uni, par exemple, avait pris la décision de vacciner l'intégralité de sa population.

a demandé si M. Roger Salamon partageait l'opinion exprimée par le professeur Gentilini sur le plus grand intérêt de la vaccination contre le pneumocoque afin de lutter contre les complications grippales.

a demandé si la suggestion du directeur général de la santé d'intégrer le comité de lutte contre la grippe au HCSP paraissait une bonne idée.

a demandé si les personnes décédées du fait du virus H1N1 avaient été ou non vaccinées.