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Rappelant qu'au Royaume-Uni, un système d'appel téléphonique a été mis en place pour permettre aux personnes présentant les symptômes de la grippe A(H1N1)v de se procurer des antiviraux en pharmacie, M. Alain Milon, rapporteur, a souhaité savoir si un système identique était envisageable en France.
a souligné que les auditions menées par la commission d'enquête tendaient à démontrer que l'OMS n'avait pas retenu une définition adéquate de la pandémie, ce qui a eu des conséquences importantes et il a estimé que la préparation d'une pandémie de grippe H5N1 relevait d'une erreur manifeste d'appréciation. Il a souhaité savoir pourquoi le professeur Keil ne partageait pas l'opinion que le virus A (H1N1) était un virus nouveau issu d'un réassortiment génétique.
a souligné que les auditions menées par la commission d'enquête tendaient à démontrer que l'OMS n'avait pas retenu une définition adéquate de la pandémie, ce qui a eu des conséquences importantes et il a estimé que la préparation d'une pandémie de grippe H5N1 relevait d'une erreur manifeste d'appréciation. Il a souhaité savoir pourquoi le professeur Keil ne partageait pas l'opinion que le virus A (H1N1) était un virus nouveau issu d'un réassortiment génétique.
a estimé que l'expérience de la grippe A (H1N1)v semblait démontrer qu'une définition des pandémies excluant toute référence à leur gravité pose de sérieux problèmes en termes d'organisation des réponses aux crises pandémiques et de perception sociale des risques sanitaires. Cependant, lors de ses auditions, il a été objecté à la commission d'enquête qu'il était difficile de donner une définition objective et incontestable du critère...
a estimé que l'expérience de la grippe A (H1N1)v semblait démontrer qu'une définition des pandémies excluant toute référence à leur gravité pose de sérieux problèmes en termes d'organisation des réponses aux crises pandémiques et de perception sociale des risques sanitaires. Cependant, lors de ses auditions, il a été objecté à la commission d'enquête qu'il était difficile de donner une définition objective et incontestable du critère...
a noté que l'expérience de la grippe H1N1 enseignait aussi, comme l'ont relevé certains interlocuteurs de la commission d'enquête, que nous ne sommes pas préparés à faire face à une pandémie qui, sauf dans un nombre de cas limité, n'est pas grave, alors que nous avons des chances qu'il s'en produise d'autres du même genre dans l'avenir. Comment faudrait-il organiser la réponse à une nouvelle crise sanitaire du même ordre que la gr...
a noté que l'expérience de la grippe H1N1 enseignait aussi, comme l'ont relevé certains interlocuteurs de la commission d'enquête, que nous ne sommes pas préparés à faire face à une pandémie qui, sauf dans un nombre de cas limité, n'est pas grave, alors que nous avons des chances qu'il s'en produise d'autres du même genre dans l'avenir. Comment faudrait-il organiser la réponse à une nouvelle crise sanitaire du même ordre que la gr...
a demandé quels seraient, très concrètement, les études à conduire et les moyens à mettre en oeuvre pour améliorer la connaissance de la grippe - saisonnière ou pandémique- et de ses impacts et pour apprécier l'efficacité de la vaccination antigrippale.
a demandé quels seraient, très concrètement, les études à conduire et les moyens à mettre en oeuvre pour améliorer la connaissance de la grippe - saisonnière ou pandémique- et de ses impacts et pour apprécier l'efficacité de la vaccination antigrippale.
a interrogé M. Tom Jefferson sur les spécificités de la grippe H1N1, qui dans la très grande majorité des cas n'a pas été plus grave qu'une grippe saisonnière, mais qui a aussi pu revêtir des formes très virulentes chez des individus qui ne présentaient pas de facteurs de risques particuliers.
a interrogé M. Tom Jefferson sur les spécificités de la grippe H1N1, qui dans la très grande majorité des cas n'a pas été plus grave qu'une grippe saisonnière, mais qui a aussi pu revêtir des formes très virulentes chez des individus qui ne présentaient pas de facteurs de risques particuliers.
a précisé que sa question portait plus spécifiquement sur la grippe H1N1, et sur les décès qui ne correspondent pas à ceux d'une grippe saisonnière.
a précisé que sa question portait plus spécifiquement sur la grippe H1N1, et sur les décès qui ne correspondent pas à ceux d'une grippe saisonnière.
a relevé que l'action contre la grippe H1N1 avait découlé de la préparation contre l'éventualité d'une grippe H5N1, dont on prévoyait qu'elle serait très grave. Les choix faits en matière de vaccination en France, mais aussi dans d'autres pays, le reflètent : le Royaume-Uni avait prévu de vacciner non pas 80 % mais 100 % de se population. Il a ensuite interrogé M. Michel Setbon sur ses travaux : comme il l'a indiqué devant la commissi...
a relevé que l'action contre la grippe H1N1 avait découlé de la préparation contre l'éventualité d'une grippe H5N1, dont on prévoyait qu'elle serait très grave. Les choix faits en matière de vaccination en France, mais aussi dans d'autres pays, le reflètent : le Royaume-Uni avait prévu de vacciner non pas 80 % mais 100 % de se population. Il a ensuite interrogé M. Michel Setbon sur ses travaux : comme il l'a indiqué devant la commissi...
a souligné que la meilleure protection contre une maladie virale n'est pas obligatoirement la vaccination. Contre le sida et la grippe, ce sont le préservatif et le lavage des mains. Certes, ce sont des méthodes pas chères, et qui ne suffiraient sans doute pas à satisfaire les laboratoires pharmaceutiques... Mais comment expliquer le décalage dans la perception du risque entre les autorités sanitaires et la communauté scientifique d'une part, la population et les médecins généralistes d'autre part ?
a souligné que la meilleure protection contre une maladie virale n'est pas obligatoirement la vaccination. Contre le sida et la grippe, ce sont le préservatif et le lavage des mains. Certes, ce sont des méthodes pas chères, et qui ne suffiraient sans doute pas à satisfaire les laboratoires pharmaceutiques... Mais comment expliquer le décalage dans la perception du risque entre les autorités sanitaires et la communauté scientifique d'une part, la population et les médecins généralistes d'autre part ?
a dit avoir constaté que les médecins, s'ils n'avaient pas pu vacciner leurs patients contre la grippe, les avaient beaucoup encouragés à se faire vacciner contre les complications pulmonaires de la grippe et il a demandé à M. Setbon s'il avait également observé cette hausse de la vaccination antipneumococcique.
a dit avoir constaté que les médecins, s'ils n'avaient pas pu vacciner leurs patients contre la grippe, les avaient beaucoup encouragés à se faire vacciner contre les complications pulmonaires de la grippe et il a demandé à M. Setbon s'il avait également observé cette hausse de la vaccination antipneumococcique.
a voulu savoir si la morbidité et la mortalité liées à la grippe H1N1 avaient substantiellement varié, dans les Etats membres, en fonction des différentes politiques antipandémiques nationales ?