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a demandé des précisions sur le comité informel réuni autour de la ministre de la santé pour la gestion de la pandémie, dont M. Roger Salamon avait mentionné l'existence lors d'une émission télévisée.
a demandé des précisions sur le comité informel réuni autour de la ministre de la santé pour la gestion de la pandémie, dont M. Roger Salamon avait mentionné l'existence lors d'une émission télévisée.
a considéré qu'il serait sans doute souhaitable d'intégrer la notion de gravité à la définition de la pandémie et a demandé à M. Roger Salamon de communiquer à la commission d'enquête, après vérification, son appréciation sur la définition de la pandémie dans les avis du HCSP.
a considéré qu'il serait sans doute souhaitable d'intégrer la notion de gravité à la définition de la pandémie et a demandé à M. Roger Salamon de communiquer à la commission d'enquête, après vérification, son appréciation sur la définition de la pandémie dans les avis du HCSP.
Rappelant que dans l'hémisphère nord les vaccins sont arrivés trop tard pour faire barrage à la pandémie et même, comme l'a indiqué le professeur Bruno Lina à la commission, « à la limite de l'intérêt individuel », M. Alain Milon, rapporteur, a demandé si, dans ces conditions, la réponse vaccinale constitue réellement le moyen le plus efficace de lutte contre une pandémie grippale.
Rappelant que dans l'hémisphère nord les vaccins sont arrivés trop tard pour faire barrage à la pandémie et même, comme l'a indiqué le professeur Bruno Lina à la commission, « à la limite de l'intérêt individuel », M. Alain Milon, rapporteur, a demandé si, dans ces conditions, la réponse vaccinale constitue réellement le moyen le plus efficace de lutte contre une pandémie grippale.
a souhaité savoir si la « pensée scientifique unique » privilégiant une vision catastrophiste de la grippe qui a dominé le discours sur la pandémie peut s'expliquer par une sorte d'« auto-restriction » de la liberté d'expression des experts pour lesquels il peut paraître difficile de se désolidariser publiquement de l'opinion exprimée par des confrères ou des instances d'expertise. Dans ces conditions, faut-il « réformer l'expertise » et comment envisager une telle réforme ?
a souhaité savoir si la « pensée scientifique unique » privilégiant une vision catastrophiste de la grippe qui a dominé le discours sur la pandémie peut s'expliquer par une sorte d'« auto-restriction » de la liberté d'expression des experts pour lesquels il peut paraître difficile de se désolidariser publiquement de l'opinion exprimée par des confrères ou des instances d'expertise. Dans ces conditions, faut-il « réformer l'expertise » et comment envisager une telle réforme ?
a demandé à M. Philippe de Chazournes si la réponse vaccinale lui paraissait adaptée à la lutte contre une pandémie grippale, pour faire barrage à la pandémie et assurer une protection individuelle ? Il a également voulu savoir si une campagne de vaccination était prévue à la Réunion pour l'hiver austral. Il a enfin demandé quelle comparaison on pouvait faire entre la gestion du chikungunya et celle de la grippe H1N1.
a demandé à M. Philippe de Chazournes si la réponse vaccinale lui paraissait adaptée à la lutte contre une pandémie grippale, pour faire barrage à la pandémie et assurer une protection individuelle ? Il a également voulu savoir si une campagne de vaccination était prévue à la Réunion pour l'hiver austral. Il a enfin demandé quelle comparaison on pouvait faire entre la gestion du chikungunya et celle de la grippe H1N1.
a relevé que le critère de gravité n'était pas retenu actuellement dans la définition d'une pandémie.
a relevé que le critère de gravité n'était pas retenu actuellement dans la définition d'une pandémie.
a tout d'abord interrogé M. Marc Gentilini sur les raisons pouvant expliquer que le discours sur la pandémie ait été dominé par une « pensée scientifique unique », et que si peu d'opinions divergentes se soient exprimées. Ce quasi-unanimisme était-il réel ou faut-il l'imputer aux médias ? Il a souligné qu'un des interlocuteurs de la commission d'enquête avait relevé que la compétition féroce qui règne dans le monde de la recherche, la course aux publications, à la mise au point de tests, à la valorisat...
a tout d'abord interrogé M. Marc Gentilini sur les raisons pouvant expliquer que le discours sur la pandémie ait été dominé par une « pensée scientifique unique », et que si peu d'opinions divergentes se soient exprimées. Ce quasi-unanimisme était-il réel ou faut-il l'imputer aux médias ? Il a souligné qu'un des interlocuteurs de la commission d'enquête avait relevé que la compétition féroce qui règne dans le monde de la recherche, la course aux publications, à la mise au point de tests, à la valorisat...
a évoqué les propos tenus devant la commission d'enquête par le professeur Antoine Flahault, qui a fait observer que l'on n'est pas préparé à faire face à une pandémie qui, comme la grippe H1N1, n'est pas grave sauf dans un nombre de cas limité, alors qu'il pourra s'en produire d'autres du même genre et il a interrogé M. Marc Gentilini sur les moyens d'organiser la réponse à une pandémie grippale. Comment, en particulier, faudrait-il organiser la vaccination ?
a évoqué les propos tenus devant la commission d'enquête par le professeur Antoine Flahault, qui a fait observer que l'on n'est pas préparé à faire face à une pandémie qui, comme la grippe H1N1, n'est pas grave sauf dans un nombre de cas limité, alors qu'il pourra s'en produire d'autres du même genre et il a interrogé M. Marc Gentilini sur les moyens d'organiser la réponse à une pandémie grippale. Comment, en particulier, faudrait-il organiser la vaccination ?
a relevé le constat que, dans l'hémisphère Nord, les vaccins sont arrivés trop tard pour faire barrage à la pandémie et même, comme l'a indiqué le professeur Lina à la commission d'enquête, « à la limite de l'intérêt individuel ». Doit-on en conclure que la réponse vaccinale n'est pas adaptée à la lutte contre une pandémie grippale ? Quel jugement porter sur les différentes stratégies vaccinales nationales ? Il a rappelé que le professeur Bernard Bégaud avait établi, dans une interview au journal Libération d...
a relevé le constat que, dans l'hémisphère Nord, les vaccins sont arrivés trop tard pour faire barrage à la pandémie et même, comme l'a indiqué le professeur Lina à la commission d'enquête, « à la limite de l'intérêt individuel ». Doit-on en conclure que la réponse vaccinale n'est pas adaptée à la lutte contre une pandémie grippale ? Quel jugement porter sur les différentes stratégies vaccinales nationales ? Il a rappelé que le professeur Bernard Bégaud avait établi, dans une interview au journal Libération d...
Sur les thèmes de l'évaluation du risque et de la décision publique, M. Alain Milon, rapporteur, se référant au blog de M. Antoine Flahault, a souhaité savoir si la préparation au risque de grande ampleur de la grippe (H5N1) a empêché de prendre en compte le caractère moins grave de la pandémie de grippe A(H1N1) ? Y a-t-il eu une application excessive du principe de précaution dans la gestion de la pandémie ? Quelle différence peut-on faire entre principe de précaution et prévention ? Quel aurait dû être, selon lui, le mode d'évaluation du risque pandémique ?
Sur les thèmes de l'évaluation du risque et de la décision publique, M. Alain Milon, rapporteur, se référant au blog de M. Antoine Flahault, a souhaité savoir si la préparation au risque de grande ampleur de la grippe (H5N1) a empêché de prendre en compte le caractère moins grave de la pandémie de grippe A(H1N1) ? Y a-t-il eu une application excessive du principe de précaution dans la gestion de la pandémie ? Quelle différence peut-on faire entre principe de précaution et prévention ? Quel aurait dû être, selon lui, le mode d'évaluation du risque pandémique ?