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Je salue Dominique Ravon, qui met ses convictions en pratique dans son exploitation familiale. Vous nous avez informés qu'il avait été difficile de recruter pour la rentrée 2020. Que mettez-vous en place pour 2021 ? La rentrée ne sera pas beaucoup plus facile. Cette baisse d'effectifs remet-elle en question la pérennité de certaines MFR et, si c'est le cas, combien de MFR sont concernées ? Vous avez parlé du coût de la scolarité des MFR où l'internat occupe une place importante. L'internat est-il un frein au recrutement et en matière de coût de scolarité ? Pour une famille, quelle est la part de l'internat sur le coût total de la scolarité ? Avez-vous davantage d'élèves bours...
...présentation soit la réalité du terrain. Ma première question est la suivante. L'enseignement agricole est dispensé dans une variété d'établissements. Pensez-vous que cette variété participe à la richesse des méthodes pédagogiques ou que cela nuit à une certaine lisibilité dans l'orientation pour les jeunes ? Ma deuxième question porte sur les établissements privés, qui accueille majorité des effectifs. Sont-ils plus à même de dispenser des méthodes alternatives pédagogiques ? Je crois que le réseau MFR a été extrêmement fragilisé par la pandémie. Je ne suis pas persuadée que les MFR sont aujourd'hui dans une situation confortable. Pouvez-vous revenir sur leur situation ? Dans le prolongement des propos tenus sur la connaissance et la reconnaissance de l'enseignement agricole, n'est-elle pas ...
Je partage l’analyse d’Élisabeth Doineau, mais je suis au regret d’annoncer que je ne voterai pas ses amendements. Pour ma part, je souhaite que le Gouvernement s’engage à chercher à comprendre les raisons de cette chute des effectifs. Si l’on constate ce phénomène alors qu’il y a des débouchés dans l’agriculture, il faut se donner les moyens d’orienter les jeunes vers ces filières qui réussissent.