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...nes de morts supplémentaires. Cette situation n'est ni acceptable ni soutenable pour la population gazaouie, qui est aujourd'hui privée des biens indispensables à l'homme. Près de 2 millions de personnes sont privées d'eau potable, obligeant une partie d'entre elles à boire de l'eau de mer, nocive pour leur santé. À cela s'ajoute le manque de nourriture, de carburant et d'électricité. Toutes les organisations le disent : il est indispensable de faire entrer chaque jour à Gaza plusieurs centaines de camions d'aide humanitaire pour assurer la survie des 2 millions d'habitants, bien loin des vingt camions autorisés à circuler actuellement. Ensuite, cette situation n'est ni acceptable ni soutenable pour le peuple israélien lui-même, car l'appauvrissement et les conditions de survie imposés aux habitants...
Lors des dernières élections, une entreprise a fait exploser ses tarifs d'affichage, ce qui a eu des conséquences pour tous les candidats. Nous devrons relever les plafonds en cas de besoin, mais dans le cadre d'un dialogue avec l'ensemble des entreprises qui contribuent à l'organisation des opérations électorales, quel que soit leur statut. Ce serait trop simple de se limiter à dire qu'on relève les plafonds de dépenses. Les élections ne sont pas synonymes de dépenses à volonté !
Personne ne pouvait imaginer la situation sanitaire que nous connaissons depuis maintenant deux ans. Si notre objectif commun est de s'assurer qu'il puisse y avoir le plus de personnes en situation d'aller voter en avril prochain, je crois qu'il ne faut rien s'interdire : certaines modalités d'organisation des opérations électorales pourraient être réexaminées. Vous pouvez toujours utiliser la procédure accélérée pour faire examiner un texte de loi. Les Françaises et les Français qui ne sont pas inscrits sur les listes électorales ont jusqu'au 4 mars pour le faire. Il ne reste maintenant que trois semaines, mais il faudrait songer à l'avenir à lancer une communication gouvernementale massive pour ...