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Interventions sur "air" de Didier Boulaud


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L'armée de l'air a eu raison de faire vite sur la deuxième composante de la force de dissuasion. Je ne suis pas certain que cette deuxième composante aurait survécu aux mesures d'économies actuelles. Sur les exportations, le chef d'état-major des armées, l'Amiral Guillaud, vient d'effectuer un déplacement en Inde pour y préparer la visite du Chef de l'Etat. Savez-vous si l'accord sur la rénovation des Mirage a de...

...elevé l'absence de progrès significatif en matière de politique européenne de sécurité et de défense, alors que le Président de la République en avait fait l'une des conditions de l'évolution de la position de la France dans l'OTAN. Il a ensuite souhaité des précisons sur la justification, les conditions et l'intérêt économique de la cession de l'usufruit des satellites de télécommunications militaires. Il a demandé dans quelle mesure l'acquisition d'avions de transport KC 390 auprès du Brésil était utile, au regard de la gamme des besoins couverte par l'A400M. Il a fait état des difficultés de maintien en condition opérationnelle du Rafale. Il s'est interrogé sur le projet de vente d'un bâtiment de projection et de commandement (BPC) à la Russie.

a ensuite demandé au chef d'état-major de l'armée de l'air ce qui, à son avis, constituait des réussites de l'Europe de la défense au niveau des armées de l'air. Il lui a également demandé si l'armée de l'air française aurait vraiment besoin du futur avion brésilien KC-390, alors que l'A400M avait été présenté comme étant l'avion polyvalent parfait. Il a fait part de ses inquiétudes sur le fait que la production de Rafale pour l'export ne se traduise par...

a évoqué des réflexions en cours sur les vecteurs français de la dissuasion nucléaire, qui met l'accent sur la composante sous-marine, et a souhaité recueillir le sentiment du chef d'état-major de l'armée de l'air sur ce point. Il a, par ailleurs, relevé qu'il existait en France 15 bases aériennes dépourvues d'aéronefs, ce qui pose la question d'un regroupement possible des bases aériennes et du point d'équilibre à atteindre en ce domaine.

a relevé que l'exposé du major général de l'armée de terre laissait percer quelques motifs d'inquiétude rejoignant ses propres préoccupations quant à la réalisation de tous les objectifs de la loi de programmation militaire. Par ailleurs, il a souhaité savoir si l'on constatait des difficultés en matière de fidélisation des personnels engagés et si le rythme élevé de déploiement sur des théâtres d'opérations très dispersé était un facteur aggravant.